L'art de péter, le livre
2 participants
Page 1 sur 1
L'art de péter, le livre
Salut les HN
Une petite trouvaille sur internet que je trouve pas idiot d'en faire profiter
Il s'agit du livre "l'art de péter", dont la première édition date de 1751.
A première vue il fait l'éloge du pet et en vante les vertues pour la santé. J'ai bien dit "vante" et non "vente" du verbe venter :
https://www.larousse.fr/dictionnaires/francais/venter/81421
Chacun sait que péter fait partie du cycle naturel de la digestion, et que simplement pour des questions de bienséance on s'interdit donc de péter. Certains quand même pousse le bouchon un peu loin et s'empêche touts vents disharmonieux, je ne pense bien sûr à personne en particulier... Ce livre s'adresse donc aussi à ces personnes, en leur faisant comprendre que c'est naturel et bon pour la santé.
J'ai cherché sur internet et j'ai trouvé quelques citations du livre. C'est du français de l'époque, donc assez coloré, si je peux le dire ainsi .
Un petit extrait :
"Pierre-Thomas-Nicolas Hurtaut, L’art de péter, Essai théori-physique et méthodique à l’usage des personnes constipées, des personnes graves et austères, des dames mélancoliques et de tous ceux qui restent esclaves du préjugé, publié en 1751.
Définition du pet en géneral
Couverture : Atelier Rezai-Guias-Vigne.
Le pet, que les Grecs nomment πορδή, les Latins, crepitus ventris, l’ancien Saxon, purten ou furten, le haut Allemand, Fartzen, et l’Anglais, fart, est un composé de vents qui sortent tantôt avec bruit, et tantôt sourdement et sans en faire.
(…) Le pet est donc, en général, un vent renfermé dans le bas-ventre, causé, comme les médecins le prétendent, par le débordement d’une pituite attiédie, qu’une chaleur faible atténuée et détachée sans la dissoudre ; ou produite, selon les paysans et le vulgaire, par l’usage de quelques ingrédients venteux ou d’aliments de même nature. On peut encore le définir comme un air comprimé, qui, cherchant à s’échapper, parcourt les parties internes du corps, et sort enfin avec précipitation quand il trouve une issue que la bienséance empêche de nommer.
Mais nous ne cachons rien ici ; cet être se manifeste par l’anus, soit par un éclat, soit sans éclat : tantôt la nature le chasse sans efforts, et tantôt l’on invoque le secours de l’art, qui, à l’aide de cette même nature, lui procure une naissance aisée, cause de la délectation, souvent même de la volupté. C’est ce qui a donné lieu au proverbe, « que pour vivre sain et longuement, il faut donner à son cul vent ». (…)
Quelques pets plaisants
Pets de province
Des gens expérimentés nous assurent que ces pets ne sont pas si falsifiés que ceux de Paris, où l’on raffine sur tout. On ne les sert pas avec tant d’étalage ; mais ils sont naturels et ont un petit goût salin, semblable à celui des huîtres vertes. Ils réveillent agréablement l’appétit.
Pets de ménage
Nous apprenons d’après les remarques d’une grande ménagère de Pétersbourg, que ces sortes de pets sont d’un goût excellent dans leur primeur et que quand ils sont chauds, on les croque avec plaisir ; mais que dès qu’ils sont rassis, ils perdent leur saveur et ressemblent aux pilules qu’on ne prend que pour le besoin.
Pets de pucelle
On écrit de l’île des Amazones, que les pets qu’on y fait sont d’un goût délicieux et fort recherché. On dit qu’il n’y a que dans ce pays où l’on en trouve ; mais on n’en croit rien. Toutefois on avoue qu’ils sont extrêmement rares.
Pets de demoiselles
Ce sont des mets exquis, surtout dans les grandes villes où on les prend pour du croquet à la fleur d’orange.
Pets de jeunes filles
Quand ils sont mûrs, ils ont un petit goùt de revas-y qui flatte les véritables connaisseurs.
Pets de femmes mariees
On aurait bien un long mémoire à transcrire sur ces pets ; mais on se contentera de la conclusion de l’auteur et l’on dira d’après lui « qu’ils n’ont de goût que pour les amants » et que « les maris n’en font pas d’ordinaire grand cas ».
Pets de bourgeoises
La bourgeoisie de Rouen et celle de Caen nous ont envoyé une longue adresse en forme de dissertation, sur la nature des pets de leurs femmes. (…). Nous dirons en général que le pet de bourgeoise est d’un assez bon fumet, lorsqu’il est bien dodu et proprement accommodé et que, faute d’autres, on peut très bien s’en contenter.
Pets de paysannes
Pour répondre à certains mauvais plaisants qui ont perdu de réputation les pets de paysannes, on écrit des environs d’Orléans qu’ils sont très beaux et très bien faits. Quoique accommodés à la villageoise, qu’ils sont encore de fort bon goût, et l’on assure les voyageurs que c’est un véritable morceau pour eux et qu’ils pourront les avaler en toute sûreté comme des gobets à la courte queue. Les bergères de la vallée de Tempé, en Thessalie, nous donnent avis que leurs pets ont le véritable fumet du pet, c’est-à-dire qu’ils sentent le sauvageon, parce qu’ils sont produits dans un terrain où il ne croît que des aromates, comme le serpolet, la marjolaine, et qu’elles entendent qu’on distingue leurs pets de ceux des autres bergères qui prennent naissance dans un terroir inculte. La marque distinctive qu’elles enseignent pour les reconnaître et n’y être pas trompé, c’est de faire ce que l’on fait aux lapins pour être sûrs qu’ils sont de garenne, flairer au moule.
Pets de vieilles
Le commerce de ces pets est si désagréable qu’on ne trouve point de marchand pour les négocier. On ne prétend pas pour cela empêcher personne d’y mettre le nez, le commerce est libre.
Pets de potiers de terres
Quoiqu’ils soient faits autour, ils n’en sont pas meilleurs ; ils sont sales, puants et tiennent aux doigts. On ne peut les toucher, crainte de s’emberner.
Pets de tailleurs
Ils sont de bonne taille et ont un goût de prunes, mais les noyaux en sont à craindre.
Pets de cocus
Il y en a de deux sortes. Les uns sont doux, affables, mous. Ce sont les pets des cocus volontaires : ils ne sont pas malfaisants. Les autres sont brusques, sans raison et furieux ; il faut s’en donner de garde. Ils ressemblent au limaçon, qui ne sort de sa coquille que les cornes les premières.
Extraits de Pierre-Thomas-Nicolas Hurtaut, L’art de péter, Essai théori-physique et méthodique à l’usage des personnes constipées, des personnes graves et austères, des dames mélancoliques et de tous ceux qui restent esclaves du préjugé, publié en 1751, Editions Payot & Rivages, Paris 2006, 10 €.
« Au plus eslevé throne du monde si ne sommes assis que sus nostre cul. Les Roys et les philosophes fientent, et les dames aussi. » Michel Eyquem de MONTAIGNE, écrivain français (1533 - 1592).
« Pet retenu fait un abcès au trou du cul. » Julos Beaucarne, artiste belge (né en 1936)"
Voilà.
Oui, où peut-on le trouver ? Et bien par exemple ici :
https://www.amazon.fr/Lart-p%C3%A9ter-Essais-th%C3%A9ori-physique-m%C3%A9thodique/dp/2228906700
Et un petit teaser en prime :
Merci de votre attention les gars
Une petite trouvaille sur internet que je trouve pas idiot d'en faire profiter
Il s'agit du livre "l'art de péter", dont la première édition date de 1751.
A première vue il fait l'éloge du pet et en vante les vertues pour la santé. J'ai bien dit "vante" et non "vente" du verbe venter :
https://www.larousse.fr/dictionnaires/francais/venter/81421
Chacun sait que péter fait partie du cycle naturel de la digestion, et que simplement pour des questions de bienséance on s'interdit donc de péter. Certains quand même pousse le bouchon un peu loin et s'empêche touts vents disharmonieux, je ne pense bien sûr à personne en particulier... Ce livre s'adresse donc aussi à ces personnes, en leur faisant comprendre que c'est naturel et bon pour la santé.
J'ai cherché sur internet et j'ai trouvé quelques citations du livre. C'est du français de l'époque, donc assez coloré, si je peux le dire ainsi .
Un petit extrait :
"Pierre-Thomas-Nicolas Hurtaut, L’art de péter, Essai théori-physique et méthodique à l’usage des personnes constipées, des personnes graves et austères, des dames mélancoliques et de tous ceux qui restent esclaves du préjugé, publié en 1751.
Définition du pet en géneral
Couverture : Atelier Rezai-Guias-Vigne.
Le pet, que les Grecs nomment πορδή, les Latins, crepitus ventris, l’ancien Saxon, purten ou furten, le haut Allemand, Fartzen, et l’Anglais, fart, est un composé de vents qui sortent tantôt avec bruit, et tantôt sourdement et sans en faire.
(…) Le pet est donc, en général, un vent renfermé dans le bas-ventre, causé, comme les médecins le prétendent, par le débordement d’une pituite attiédie, qu’une chaleur faible atténuée et détachée sans la dissoudre ; ou produite, selon les paysans et le vulgaire, par l’usage de quelques ingrédients venteux ou d’aliments de même nature. On peut encore le définir comme un air comprimé, qui, cherchant à s’échapper, parcourt les parties internes du corps, et sort enfin avec précipitation quand il trouve une issue que la bienséance empêche de nommer.
Mais nous ne cachons rien ici ; cet être se manifeste par l’anus, soit par un éclat, soit sans éclat : tantôt la nature le chasse sans efforts, et tantôt l’on invoque le secours de l’art, qui, à l’aide de cette même nature, lui procure une naissance aisée, cause de la délectation, souvent même de la volupté. C’est ce qui a donné lieu au proverbe, « que pour vivre sain et longuement, il faut donner à son cul vent ». (…)
Quelques pets plaisants
Pets de province
Des gens expérimentés nous assurent que ces pets ne sont pas si falsifiés que ceux de Paris, où l’on raffine sur tout. On ne les sert pas avec tant d’étalage ; mais ils sont naturels et ont un petit goût salin, semblable à celui des huîtres vertes. Ils réveillent agréablement l’appétit.
Pets de ménage
Nous apprenons d’après les remarques d’une grande ménagère de Pétersbourg, que ces sortes de pets sont d’un goût excellent dans leur primeur et que quand ils sont chauds, on les croque avec plaisir ; mais que dès qu’ils sont rassis, ils perdent leur saveur et ressemblent aux pilules qu’on ne prend que pour le besoin.
Pets de pucelle
On écrit de l’île des Amazones, que les pets qu’on y fait sont d’un goût délicieux et fort recherché. On dit qu’il n’y a que dans ce pays où l’on en trouve ; mais on n’en croit rien. Toutefois on avoue qu’ils sont extrêmement rares.
Pets de demoiselles
Ce sont des mets exquis, surtout dans les grandes villes où on les prend pour du croquet à la fleur d’orange.
Pets de jeunes filles
Quand ils sont mûrs, ils ont un petit goùt de revas-y qui flatte les véritables connaisseurs.
Pets de femmes mariees
On aurait bien un long mémoire à transcrire sur ces pets ; mais on se contentera de la conclusion de l’auteur et l’on dira d’après lui « qu’ils n’ont de goût que pour les amants » et que « les maris n’en font pas d’ordinaire grand cas ».
Pets de bourgeoises
La bourgeoisie de Rouen et celle de Caen nous ont envoyé une longue adresse en forme de dissertation, sur la nature des pets de leurs femmes. (…). Nous dirons en général que le pet de bourgeoise est d’un assez bon fumet, lorsqu’il est bien dodu et proprement accommodé et que, faute d’autres, on peut très bien s’en contenter.
Pets de paysannes
Pour répondre à certains mauvais plaisants qui ont perdu de réputation les pets de paysannes, on écrit des environs d’Orléans qu’ils sont très beaux et très bien faits. Quoique accommodés à la villageoise, qu’ils sont encore de fort bon goût, et l’on assure les voyageurs que c’est un véritable morceau pour eux et qu’ils pourront les avaler en toute sûreté comme des gobets à la courte queue. Les bergères de la vallée de Tempé, en Thessalie, nous donnent avis que leurs pets ont le véritable fumet du pet, c’est-à-dire qu’ils sentent le sauvageon, parce qu’ils sont produits dans un terrain où il ne croît que des aromates, comme le serpolet, la marjolaine, et qu’elles entendent qu’on distingue leurs pets de ceux des autres bergères qui prennent naissance dans un terroir inculte. La marque distinctive qu’elles enseignent pour les reconnaître et n’y être pas trompé, c’est de faire ce que l’on fait aux lapins pour être sûrs qu’ils sont de garenne, flairer au moule.
Pets de vieilles
Le commerce de ces pets est si désagréable qu’on ne trouve point de marchand pour les négocier. On ne prétend pas pour cela empêcher personne d’y mettre le nez, le commerce est libre.
Pets de potiers de terres
Quoiqu’ils soient faits autour, ils n’en sont pas meilleurs ; ils sont sales, puants et tiennent aux doigts. On ne peut les toucher, crainte de s’emberner.
Pets de tailleurs
Ils sont de bonne taille et ont un goût de prunes, mais les noyaux en sont à craindre.
Pets de cocus
Il y en a de deux sortes. Les uns sont doux, affables, mous. Ce sont les pets des cocus volontaires : ils ne sont pas malfaisants. Les autres sont brusques, sans raison et furieux ; il faut s’en donner de garde. Ils ressemblent au limaçon, qui ne sort de sa coquille que les cornes les premières.
Extraits de Pierre-Thomas-Nicolas Hurtaut, L’art de péter, Essai théori-physique et méthodique à l’usage des personnes constipées, des personnes graves et austères, des dames mélancoliques et de tous ceux qui restent esclaves du préjugé, publié en 1751, Editions Payot & Rivages, Paris 2006, 10 €.
« Au plus eslevé throne du monde si ne sommes assis que sus nostre cul. Les Roys et les philosophes fientent, et les dames aussi. » Michel Eyquem de MONTAIGNE, écrivain français (1533 - 1592).
« Pet retenu fait un abcès au trou du cul. » Julos Beaucarne, artiste belge (né en 1936)"
Voilà.
Oui, où peut-on le trouver ? Et bien par exemple ici :
https://www.amazon.fr/Lart-p%C3%A9ter-Essais-th%C3%A9ori-physique-m%C3%A9thodique/dp/2228906700
Et un petit teaser en prime :
Merci de votre attention les gars
Stefou- Guardian member
- Date d'inscription : 05/11/2017
Age : 53
Localisation : Tours
Bike: : Honda Cb1100 2014 café racer
Re: L'art de péter, le livre
Dans le pet c'est pas le bruit qui dérange mais l'odeur.....
Néné- HN Full Patch
- Date d'inscription : 09/11/2015
Re: L'art de péter, le livre
Va falloir inviter Patrick Sebastien dans ce sujet,il vas être en terre connue...
Invité- Invité
Re: L'art de péter, le livre
Néné a écrit:Dans le pet c'est pas le bruit qui dérange mais l'odeur.....
Ce n'est pas faux Néné, ce n'est pas faux... Surement que le livre en parle d'ailleurs
Dieter a écrit:Va falloir inviter Patrick Sebastien dans ce sujet,il vas être en terre connue...
Il ne doit pas y avoir trop de français ancien dans ses émissions quand même
J'ai posté ce sujet car dans le fond il traite de l'irrévérence. C'est un thème quand même cher à la culture biker... Sinon au moins le principe revient souvent.
D'ailleurs ça me rappelle une petite anecdote.
C'était durant la fête nationale, je me promenai en moto et j'arrive dans une petite ville non loin de Dreux. C'était en plein dans la cérémonie et je voyais le défilé à 100m environ plus loin dans la rue. Ma moto n'est pas très bruyante et j'avais une conduite calme et ne donnais pas de l'accélérateur pour faire du bruit gratuitement, mais bon c'est une Harley et ça donne mauvais genre... La ville en question est une ville très bourgeoise de réputation et là ca c'est malheureusement vérifié...
Un passant m'interpelle et me dit sans trop de politesse "Qu'est-ce que vous cherchez ?" Je lui réponds aimablement que je cherche un restaurant où manger et une place où me garer. Il m'indique sans être trop aimable lui de son côté qu'il y en a un en face du château.
Ce passant devait avoir des petits soucis d'ordre gastrique, pour le dire de façon détournée
Stefou- Guardian member
- Date d'inscription : 05/11/2017
Age : 53
Localisation : Tours
Bike: : Honda Cb1100 2014 café racer
Re: L'art de péter, le livre
Oui farpaitement.
Des bons gros morceaux d'irreverence comme on les aime
Des bons gros morceaux d'irreverence comme on les aime
Stefou- Guardian member
- Date d'inscription : 05/11/2017
Age : 53
Localisation : Tours
Bike: : Honda Cb1100 2014 café racer
Re: L'art de péter, le livre
Si on aime l'ambiance "Bite Cul Poil Nichon Pipi Caca"effectivement,la vulgarité ne me fait pas rire,la grossièreté parfois...
Invité- Invité
Re: L'art de péter, le livre
Désolé que tu aies cet opinion-la Dieter.
Là il s'agit d'un petit livret de 1751 qui a dû en faire rire des tas, et sûrement moins d'autres...
J'espère sincèrement qu'à la longue ça te fera esquisser un petit sourire
Là il s'agit d'un petit livret de 1751 qui a dû en faire rire des tas, et sûrement moins d'autres...
J'espère sincèrement qu'à la longue ça te fera esquisser un petit sourire
Stefou- Guardian member
- Date d'inscription : 05/11/2017
Age : 53
Localisation : Tours
Bike: : Honda Cb1100 2014 café racer
Re: L'art de péter, le livre
Sans doute au XVIII eme siècle,a coté de La Philosophie Dans Le Boudoir....
Invité- Invité
Re: L'art de péter, le livre
Le marquis de Sade...
J'ai lu il y a longtemps un de ses livres, je ne me rappelle plus lequel. Mais c'est vrai à mon sens il a sa place à côté de celui-là
édit :
Un petit lien intéressant :
https://www.babelio.com/liste/1118/Libertinage-et-litterature-du-XVIIIeme-siecle
C'est dingue quand même... Une chose en amenant une autre, on en sait maintenant un peu plus sur la littérature érotique du 18e siècle. Bon pas sûr que ça soit utile dans le monde Harley. Désolé
J'ai lu il y a longtemps un de ses livres, je ne me rappelle plus lequel. Mais c'est vrai à mon sens il a sa place à côté de celui-là
édit :
Un petit lien intéressant :
https://www.babelio.com/liste/1118/Libertinage-et-litterature-du-XVIIIeme-siecle
C'est dingue quand même... Une chose en amenant une autre, on en sait maintenant un peu plus sur la littérature érotique du 18e siècle. Bon pas sûr que ça soit utile dans le monde Harley. Désolé
Stefou- Guardian member
- Date d'inscription : 05/11/2017
Age : 53
Localisation : Tours
Bike: : Honda Cb1100 2014 café racer
Sujets similaires
» Peter Pan Speedrock
» Livre Café racers
» Livre les modèles mythiques
» Livre Américan Freedom Machine
» Livre harley davidson motorcycles
» Livre Café racers
» Livre les modèles mythiques
» Livre Américan Freedom Machine
» Livre harley davidson motorcycles
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum